mon printemps, mon rêve...
L’or brûle et la lune est rousse, c’est le printemps. Ne me parlez plus de brumes, de cris dans la pénombre, de tourments, sentez le vent. Que hurlent les maîtres, que pèsent les faix et les carcans, que tremblent la ville des défaites et pleure mon ombre...