Quand Auguste réorganisa le monde romain sous la forme de l'empire, l'érotisme joyeux, anthropomorphe et précis des grecs se transforma en mélancolie effrayée. Des visages de femmes remplis de peur, le regard latéral, fixent un angle mort. Le mot phallus...

"La vie de chacun d'entre nous n'est pas une tentative d'aimer. Elle est l'unique essai."

Oh, et la nuit, la nuit, quand le vent plein les espaces du monde nous ronge le visage - à qui resterait-elle, tant désirée, tendrement décevante, épreuve pour le coeur solitaire? aux amants peut-elle être plus légère? ils ne font , hélas, que se cacher...

Le paradoxe du désir, c'est qu'il y a une extrême jouissance à ne pas encore jouir ! Cet bonheur de l'imminence doit beaucoup à l'imagination, qui donne à poursuivre des biens inexistants mais attrayants. Ainsi, la jouissance réside-t-elle moins dans...

l’analyse me semble erronée, il est constant sur ce point à travers ses œuvres : En tout cas Friedrich Nietzsche ne serait pas d’accord avec cette analyse ;, Extrait d’un échange épistolaire avec une étudiante : Nihilisme marie_143@hotmail Bonjour monsieur,...

Anachorètes mis à part, hier avec Carole, on décide de s'en foutre des éléments et nous voilà parties vers le chateau de la Punta. Chemin faisant, rires et confidences et regards sur les cieux de plus en plus menaçants... il en faut d'autres pour rebrousser...

Voir la solitude comme "un passage obligé" me rappelle cette phrase du Cantique des cantiques: "va vers toi-même". C'est peut-être ce "va vers toi-même" que beaucoup d'entre nous vivent si douloureusement au point de toujours retourner vers les autres.....

Pour le solitaire : (...) chez lui, c'est plus subtil. Je ne pense pas que le solitaire ait renoncé à séduire l'autre, seulement il vaut séduire avec d'autres armes, en offrant l'image de son autonomie, de son indépendance; de sa force. Il y a chez le...

salut Luna, j'ai appris que tu croquais la dernière mouche, que tu n'aimais pas trop les ailes qui coincent dans le rapeux de la langue et que le ronron était un peu enroué de tout ce noir, après... Moi hier j'ai chopé un joli papillon de nuit, elle m'avait...

Jacques de Bourbon Busset Le vivre deux n’a rien de commun avec le vivre à deux, série de compromis, ni avec le vivre un, dangereuse chimère. Le vivre deux, ce sont deux libertés qui vivent l’une par l’autre, c’est la synergie de deux libertés.